
Je ne comprenais pas toute cette agitation dans ma maison et puis je me retrouve dehors seule, désemparée, pleurant à la fenêtre pour rentrer mais rien. Une gentille personne me nourrit et m'explique que ma maîtresse est partie à tout jamais. La vie dans la rue est trop difficile pour moi.

Par chance je suis de nouveau à l'abri au sein des Chathuttes

Une fois ma quarantaine terminée j'aurai besoin d'une famille d'accueil

J'oubliais je suis ADORABLE et très CÂLINE


